3/ Durant son second voyage, Christophe Colomb s’est entendu dire par les “Indiens de l’Espagnola” [Haïti] que des gens de couleur noire étaient sur l’île avant son arrivée. Pour preuve, ils se présentèrent à Christophe Colomb avec les lances de ces Musulmans Africains. Ces armes étaient constituées d’un métal jaune que les Indiens appelaient Guanine, un mot dérivant de la langue d’Afrique de l’Ouest et signifiant “alliage d’or”. Ce mot se rattache aussi curieusement au mot Arabe “ghin?” qui signifie “richesse”. Christophe Colomb rapporta en Espagne quelques Guanines et les fit analyser. Il apprit qu’elles étaient constituées de 18 parts d’or [56.25%], de 6 parts d’argent [18.75%] et de 8 parts de cuivre [25%], les mêmes proportions que le métal produit dans les boutiques de métaux en Guinée.
4/ En 1498, lors de son troisième voyage vers le Nouveau Monde, Christophe Colomb accosta à Trinidad. Plus tard, sur le Continent Sud Américain, il vit que dans certains clans, les indigènes portaient des foulards colorés de coton, avec des motifs symétriquement tissés. Christophe Colomb nota que ces foulards ressemblaient aux coiffes et aux pagnes de Guinée dans leurs couleurs, leur style et leur fonction. Il y fit référence en parlant de “Almayzars”. Almayzars est un mot Arabe signifiant “couverture”, “tablier”, “jupe”, portés par les Maures [Musulmans Espagnols ou Nord-africains] et importés au Maroc, en Espagne et au Portugal depuis l’Afrique de l’Ouest [Guinée]
Durant ce voyage, Christophe Colomb fut surpris de voir que les femmes mariées portaient des culottes de coton [bragas] et se demanda d’où ces femmes tenaient leur pudeur. Hernando Cortez, un conquérant espagnol décrivit les tenues des femmes indiennes comme faites de longs voiles et celles des hommes comme étant à la manière des Maures. Ferdinand Colomb, fit remarquer que ces habits étaient similaires à ceux portés par les femmes Maures de Grenade.
5/ Dr. Barry Fell (Harvard University) a découvert l’existence d’écoles Islamiques dans la Vallée du Feu et dans d’autres endroits encore, datant de 700/800 de l’ère chrétienne. Il a trouvé des textes gravés dans la roche, des diagrammes et des dessins représentant les derniers fragments vivants de ce qui fut un système d’écoles élémentaires et de niveau supérieur. Le langage utilisé est l’Arabe d’Afrique du Nord avec le vieux script de Kufa. Les sujets portent sur l’écriture, la lecture, l’arithmétique, la Religion, l’Histoire, la géographie, les mathématiques, l’astronomie et la navigation maritime.
Les descendants des explorateurs Musulmans d’Amérique du Nord sont des Iroquois, Algonquin, Anasazi, Hohokam et Olmec. Il y a aux Etats-Unis (484) et au Canada (81), 565 noms de lieux (villages, villes, montagnes, lacs, rivières…) qui dérivent de mots Arabes ou Musulmans. Ces lieux ont été ainsi nommés par les habitants de la période pré-Colombienne. Certains de ces lieux ont un nom lié a une symbolique sacrée : : Mecca (Indiana) - 720 habitants, Makkah Tribu Indienne (Washington), Medina (Idaho) – 2100 H, Medina (NY) – 8500 H, Medina et Hazen (Dakota du Nord) – respectivement 1100 et 5000 H, Medina (Ohio) - 12000 H, Medina (Tennessee) – 1100 H, Medina (Texas) - 26000 H, Medina (Ontario) -1200 H, Mohamed (Illinois) – 3200 H, Mona (Utah) – 1100 H, Arva (Ontario) – 700 H et bien d’autres encore. Une étude attentive du nom des tribus Indiennes autochtones révèle que beaucoup ont des noms qui dérivent de l’Arabe ou de noms Islamiques, tels que Anasazi, Apache, Arawak, Arikana, Chavin Cherokee, Cree, Hohokam, Hupa, Hopi, Makkah, Mahigan, Mohawk, Nazca, Zulu, Zuni, etc.
ـ[أبو سليمان الجسمي]ــــــــ[12 - 10 - 10, 11:50 م]ـ
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